Concentrateur parabolique composé

Les premiers travaux d'optique non-imageante avaient pour but de focaliser la lumière du soleil sur des cellules photo-électriques planes sans avoir à assurer un suivie précis du soleil. La résolution du problème en deux dimension (source de lumière à l'infini + cible rectiligne) a débouché sur des réflecteurs en forme d'arc parabolique disposés de part et d'autre des cellules. Cette composition de deux réflecteurs est à l'origine du nom CPC (Concentrateur Parabolique Composé).

Dans le cas des concentrateurs solaires thermiques, la cible est, en général, un tube rond. Les réflecteurs à mettre en place dans une telle configuration (source à l'infinie + cible circulaire) sont souvent désignés par le terme CPC eux-aussi, alors qu'ils n'ont rien de paraboliques... Dans le cas d'un concentrateur à plusieurs étages, ce terme est d'autant plus erroné ce qui sert de source de lumiére pour le concentrateur secondaire n'est pas à l'infinie puisse qu'il s'agit de la sortie du concentrateur primaire. De plus, les contraintes de fabrication conduisent, en général, à s'écarter de cette configuration théorique.